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Recherche par lecteur : Patrick-Ronald Monbaron

24 résultats. Page 1 sur 2.

Durée : 1h. 10min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 74452
Résumé:C’est un abécédaire choisi. Il va de Arbres à Vaches en passant par Chemins, Journal, ou Tracteurs. Ce serait l’os des choses, leur velours ; et comme une déclaration d’amour répétée vingt-six fois.
Durée : 1h. 50min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 73645
Résumé:En 1938, Blaise Cendrars a cinquante et un ans. Il est "le bourlingueur", et l'un des écrivains les plus connus du temps. Pourtant il est triste, et n'arrive plus à écrire. Un soir, un ami lui présente Elisabeth Prévost. Elle a vingt-sept ans, a déjà traversé l'Afrique plusieurs fois ; elle est belle, riche, c'est une aventurière. Pendant un an, Cendrars part vivre avec elle dans la forêt des Ardennes, où elle élève des chevaux. Auprès d'elle, il puise l'enthousiasme et se remet à l'oeuvre. Ils forment le projet d'un tour du monde à la voile, s'organisent. Mais c'est la guerre : Cendrars la quitte presque sans un mot, pour s'engager à nouveau. Ils ne se reverront pas. Nul ne sait ce qu'il y a eu entre eux pendant cette année hors du temps, mais cette rencontre fugace, magique, fut importante pour tous deux. Dans des notes trouvées après sa disparition, Elisabeth Prévost écrit : "Blaise Cendrars est l'homme qui a le plus marqué mon coeur et mon esprit"
Durée : 33min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 73196
Résumé:Au rythme des annonces, des stations, du roulement, les entrailles de la terre soupirent, déversant flux et reflux de passagers. Les images, la lumière et les sons bercent les citadins qui passent, anonymes, se croisent et s’ignorent… Pourtant la routine les amène inlassablement sur ces mêmes lignes. Un voyage dans le métro berlinois.
Durée : 13min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 72572
Résumé:"On a jeté de la vitesse dans quelque chose qui ne le supportait pas". René Char in Lettera Amorosa
Durée : 56min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 72544
Résumé:Une écriture simple et précise et un portrait de l'homme moderne.
Durée : 1h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71942
Résumé:"L’éternité est sûrement retrouvée, puisque, comme toujours, la mer est mêlée au soleil. Le monde n’a pas disparu, mais on dirait qu’il a été retourné pour reprendre son cours céleste. Tout est maintenant immédiat, le temps ne coule plus, et le plus stupéfiant est que personne ne semble s’en rendre compte. ..." Une lecture très personnelle du mythe de Graal.
Durée : 50min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 71764
Résumé:« Son précédent texte court, Mal vu mal dit, datait de 1980 et Samuel Beckett ne reviendra à cette forme d'expression qu'en 1987-88 avec son dernier ouvrage, Stirrings Still (Soubresauts). Mais tout en s'inscrivant dans cette continuité, Cap au pire est une œuvre à part, le cri d'une souffrance, d'une détresse inouïes. Ce cri, qui tend de façon plus ou moins explicite toute l'œuvre de Samuel Beckett, il ne pouvait le faire entendre à l'état pur qu'en torturant le langage de façon à le dépouiller, le réduire à l'extrême, le pousser aux limites du silence. À l'époque où il écrivait Cap au pire, Samuel Beckett se consacrait, comme réalisateur, au tournage de ses pièces pour la télévision et particulièrement à Quad. Là, des personnages qui ne sont plus que des silhouettes suivent des itinéraires minutieusement tracés pour parcourir un espace dont ils évitent soigneusement le centre, chacun déviant sa course lorsqu'il approche du cœur du vide, domaine de tous les périls. Dans Cap au pire, Samuel Beckett se situe au contraire à ce point central où rien ne le protège plus, où il va devoir affronter une détresse absolue. Cette démarche fut pour lui une épreuve terrible. S'il a renoncé à l'époque à traduire lui-même Worstward Ho en français, c'est en grande partie parce qu'il redoutait d'avoir à affronter de nouveau une souffrance aussi intolérable ».
Durée : 15min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 71588
Résumé:Un homme seul, confiné en un lieu mal défini, et dont tout donne à penser qu"il touche au terme de son existence. Assis à une table, il voyage dans sa tête. Sa lumière intérieure est éteinte, et celle du dehors le laisse dans le noir. Il se voit se lever, s’accrocher à la table, puis disparaître et réapparaître en une autre place, ou bien ailleurs, en un autre lieu. Il est à la recherche d’une sortie " vers l’errance d’antan. Dans l’arrière-pays ”. Une horloge marque le temps, sonne l’heure et la demie, et des coups et des cris se font entendre. Il revient à lui-même, observe ses mains. “ Soulevait feu sa tête pour voir ses feues mains. ” L’errance se prolonge, mais nul indice, nul repère ne lui permet de discerner où il se trouve. D’ailleurs qu’importe, puisque “ toute place telle une seule ”. Aux coups et aux cris succède le silence qui marque peut-être la fin dernière, ou simplement, une accalmie. [Source: "Le Figaro", 1989]
Durée : 2h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71447
Résumé:Jean Seghers est inquiet : sa station-service a été déclarée en faillite. Son veilleur de nuit-mécanicien lui réclame ses indemnités et, de surcroît, il craint que sa femme entretienne une liaison avec le président du tribunal de commerce. Alors il va employer les grands moyens.
Durée : 11min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71424
Résumé:"...la langue se charge de boue un seul remède alors la rentrer..." D'une seule phrase de dix pages, sans virgule mais avec une majuscule et un point final, Beckett écrit avec des mots ce qu'un narrateur voit avec ses yeux.”
Durée : 26min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 70403
Résumé:Ce recueil réunit les poèmes que Samuel Beckett a écrits en français depuis 1937. TABLE DES MATIÈRES : elles viennent - à elle l'acte calme - être là sans mâchoires sans dents - Ascension - La Mouche - musique de l'indifférence - bois seul - ainsi a-t-on beau - Dieppe - Rue de Vaugirard - Arènes de Lutèce - jusque dans la caverne ciel et sol - bon bon il est un pays - Mort de A. D. - vive morte ma seule saison - je suis ce cours de sable qui glisse - que ferais-je sans ce monde sans visage sans questions - je voudrais que mon amour meure - hors crâne seul dedans - Comment dire - mirlitonnade
Durée : 2h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70185
Résumé:Décembre 1944, Budapest s'enfonce dans la tragédie : la ville est assiégée par les Soviétiques et ravagée par les Croix-fléchées, des fascistes hongrois qui exterminent les derniers Juifs. L'un d'eux, Joseph Beregi, persiste malgré le danger à mener une vie insouciante. Don Juan aimant la vie et les femmes, il est protégé et nourri par ses admiratrices, prostituées ou grandes bourgeoises. À l'heure de la destruction finale, son obstination à jouir jusqu'au bout lui sauvera la vie. Réponse hédoniste au cauchemar de la guerre, L'Âge d'or est l'un des romans les plus originaux et les plus troublants de Ferenc Karinthy.
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 68887
Résumé:Artiste mythique, icône de la modernité et de l'avant-garde internationale, Ettore Sottsass est également un écrivain accompli, maître dans l'art de raconter des histoires, comme en témoignent ses nombreux récits et chroniques, et ces pages autobiographiques tirées d'Ecrit la nuit, qui renouvellent en profondeur le thème de "l'innamoramento". Le volet de ce livre de mémoires qui forme le Livre interdit est celui où Sottsass apparaît le plus nu, où la créativité, la sensibilité, l'intelligence ne font qu'un seul flux avec la sensualité. Dans Ecrit la nuit, pensé comme testament au début des années 2000, Sottsass fait défiler, dans une suite faussement désinvolte, les tableaux de son enfance en Autriche puis à Turin ; de sa jeunesse, où il rencontre Fernanda Pivano, la grande traductrice italienne des écrivains et poètes de la Beat Generation, qui l'influenceront ; dans le Livre interdit, on retrouve Sottsass à l'âge mûr, où il rencontre celle qui deviendra sa muse et complice, Barbara Radice, avec laquelle il voyagera à travers tous les continents, mû par une curiosité et une quête insatiable de beauté. Ce qui frappe et enchante dans ces évocations pleines de verdeur, c'est le don qu'a Sottsass de se livrer d'une voix confiante et intime au lecteur, qui traverse en sa compagnie une vie et un siècle.
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68323
Résumé:Jacques est un jeune appelé du 35e régiment, un de ces hommes envoyés en Algérie dans les années 1959-1960 pour accompagner la transition après les années de guerre, se faire les dents et devenir des hommes, leur dit-on. Il laisse derrière lui son père, et surtout celle qu’il aime, Jeanne, qui reste tout près, en pensée, tout au long de son exil. Là-bas, en Algérie, Jacques retrouve son ami d’enfance, François, un jeune officier plein d’assurance, qui viendra, juste après la proclamation de l’indépendance, rappeler lors d’une cérémonie officielle le sens de l’engagement militaire et les valeurs patriotiques, comme pour mieux organiser l’occultation de l’horreur qui vient de se dérouler. Jacques ne reconnaît plus son ami, devenu un étranger pour lui. Que fera-t-il de son sentiment de trahison ?
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68021
Résumé:Ce sont des choses qui arrivent : la jouissance de l'échec, l'amour changé en haine, les malentendus, les solitudes parallèles. Le lecteur explorera des no man's lands : entre mondes juifs et non juifs, tradition et modernité, désir et mort, lucidité et délire... mais le conteur sait aussi faire naître le rire, parfois douloureux, parfois grinçant, quand surgissent les silhouettes des ses personnages - clowns tristes et amers, pitoyables et émouvants - qui s'agitent, maladroits, sur la scène de la vie.
Durée : 25min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 68001
Résumé:Le vieux Kazuo, souriant, sonnait à la porte, un peu essoufflé, mais à peine, d'avoir gravi quatre à quatre les escaliers emplis d'une odeur de lessive qu'en secret il nommait pour lui-même, comme l'eut fait un maître parfumeur en son laboratoire, Chéri désir
Durée : 2h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 65625
Résumé:Entre fantasme et réalité, Yoël Hoffmann nous offre, avec À la recherche du troisième oeil, un nouveau texte onirique et singulier sur les infinies possibilités de l’enfant à dire le monde. « Sachant désormais qu’il était un cyclope, Kätzchen examinait le front des gens à la recherche du troisième oeil. »
Durée : 3h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 65173
Résumé:Entre chagrin intérieur et effondrement du monde extérieur, entre le jour et la nuit, entre soi et l’autre, vivre ou mourir, homme ou femme, humain ou animal, les frontières s’estompent. Bernhard se réfugie progressivement dans une vie imaginaire peuplée de fantômes et de fantasmes où l’on croise aussi bien ses voisins arabes que Gandhi, le souvenir de la beauté du cou de Paula, Descartes ou Spinoza. Et Yoel Hoffmann nous donne accès, aux sources du Livre, à une culture du tout-monde et du tout-temps nourrie de philosophie européenne, de l’histoire et de la terre de Palestine jusqu’aux confins de l’Extrême-Orient. Entre prose et poésie, entre allemand, yiddish et hébreu, Yoel Hoffmann signe un roman unique et habité sur l’exil, la langue et l’identité.
Durée : 3h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 39145
Résumé:Fils de forgeron, le narrateur perd son frère très jeune. Face à la peine, le père se noie dans l'alcool et la mère choisit de faire comme si rien ne s'était passé et qu'il était toujours vivant. Devenu adulte, peintre confirmé, il retrouve la paix dans les tableaux qu'il crée. Premier roman.
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 39120
Résumé:Jean, mon frère, venait d’acheter un voilier et m’invitait à passer quelques jours en mer. Je n’étais pas certain que ce soit une bonne idée que nous partions en vacances ensemble. Quand je dis « nous », je ne pensais pas à Jean. Je pensais à Jeanne. À Jeanne et moi.